Au Collège Ahuntsic, comment favoriser une santé mentale florissante chez les étudiants? À l'écoute des experts : vous!

Nous proposons une consultation étudiante, où nous inviterons les participant·e·s à nous partager ce qui favorise leur bien-être au Collège, ainsi que ce qu'il pourrait y avoir de plus, ou différement, afin de se sentir encore mieux. Nous ferons par la suite le pont entre le contenu de la discussion et le Plan d’action en santé mentale au postsecondaire, que nous présenterons brièvement. Nous partagerons aussi l'état des travaux entourant l'actualisation de ce dernier au Collège Ahuntsic. Animé par des membres du Comité sur la santé mentale étudiante, cet atelier se veut une première activité d’une longue série portant sur la santé mentale étudiante. ** La prise de parole pourra se faire de façon anonyme au besoin **

Les panelistes

Clémence Bergeron est présentement vice-présidente de l’Association Générale des Étudiants du Collège Ahuntsic (AGECA) et s’implique pour exprimer la parole des étudiant·e·s depuis deux ans. Elle est une femme qui représente la résilience, la persévérance et inspire le respect chez tout le monde avec qui elle travaille. C’est une étudiante en sciences humaines qui aspire aux domaines de la politique, du droit et de la communication. Elle souhaiterait un monde où les gens sont toujours compétents, où les gens reconnaissent leurs erreurs, mais surtout où les jeunes sont écouté·e·s. 

Pascal Gagné est directeur adjoint des services de consultation au Collège Ahuntsic. Après des études en psychologie et en éducation, il a travaillé comme intervenant et formateur, puis il a enseigné au cégep et à l’université pendant plus de 20 ans. Il est passionné de santé mentale et de vitalité professionnelle, de vélo et de musique.

Marie-Claude Lemire est psychologue au Service de santé, d’aide psychosociale et financière du Collège Ahuntsic. Après une maîtrise en psychologie de l’éducation, elle travaille plus de 15 ans comme psychologue scolaire auprès de clientèles diversifiées au primaire et secondaire, puis au collégial depuis 2019. S’appuyant sur le principe que la santé mentale est un déterminant de persévérance scolaire et de réussite éducative, elle s’implique à différents niveaux, que ce soit en promotion, prévention ou intervention, afin de favoriser le bien-être des étudiant·e·s et stimuler le potentiel du milieu scolaire comme facteur de protection.